





La campagne électorale bat son plein à travers le pays. Mais d’emblée celui qui se croyait « tout-puissant » au pouvoir est dans la panique et tente de se rabattre sur le candidat de LAMUKA à la présidence dont la campagne s’annonce fracassante à travers tout le pays, faite non par l’intéressé lui-même, mais par la mobilisation populaire.
Aussi, des sources dignes de foi de la présidence de la République à Kinshasa, il est signalé que les comploteurs du FCC ont mis sur pied un plan pour torpiller la campagne de Martin FAYULU, le candidat de la coalition LAMUKA, dont le soutien est plus qu’évident partout dans le pays. Son programme devant le ramener à ce 30 Novembre 2018 aurait été cassé par la décision du pouvoir de bloquer l’aéronef se trouvant à son service pour la campagne électorale.
En effet, ce candidat du changement et espoir du peuple pour renverser le régime prédateur a décidé de lancer sa campagne électorale par la circonscription de Beni, en guise de signe de proximité des populations de cette région livrées délibérément à l’extermination par le pouvoir en place. Et pourtant la masse se trouve spontanément mobilisée derrière ce candidat unique dont la population tourne en dérision toute tentative des candidats issus du FCC.
Par conséquent, beaucoup des candidats ayant choisi par cupidité le camp du FCC commencent à s’abstenir de mentionner leur appartenance politique sur leurs photos de propagande. Ils sont publiquement hués et injuriés par les tumultes des foules qui ne leur donnent mêmes pas la chance de prononcer une parole aux meetings populaires, où au contraire les assistants ne clament que « FAYULU président ».
Visiblement, les personnes qui s’aventurient en propagande au nom du FCC ont du pain sur la planche. Dans bien de circonstances ils sont exposés au linchage des masses emportées de colère à la vue de la misère et des violences imposées par des dirigeants sadiques.
Le FCC s’agite. Mais ses interférences ne changeront absolument rien à la détermination du peuple à infliger une sanction exemplaire à ses agents corrompus au prochain rendez-vous des urnes.
Juvenal Kasongo
correspondant de BLO à Kinshasa
©Beni-Lubero Online.





