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    Home»Nouvelles»Les Dépèches»BENI : Mettre à feu et à sang les zones directement frontalières avec l’Ouganda
    Les Dépèches

    BENI : Mettre à feu et à sang les zones directement frontalières avec l’Ouganda

    BLOBy BLO23/12/2020Updated:23/12/2020Aucun commentaire7 Views
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    Jusqu’en début 2020, les massacres des civils dans le territoire de Beni se déroulaient essentiellement dans le triangle de la mort (Mbau – Kokola – Kamango). La collectivité Ruwenzori, que traverse la route commerciale Beni – frontière de Kasindi, et qui est directement frontalière avec l’Ouganda, était globalement épargnée. Pas plus longtemps depuis les massacres de Halungupa (février, mars, avril), de Nzenga (12 décembre 2020) et de Bulongo (21 décembre 2020). Cette série de massacres a entraîné la remontée des informations alarmantes sur lesquelles nous avons mené des recherches. Le moins qu’on puisse dire est que cette partie du territoire national est au point de devenir le théâtre de massacres de grande ampleur dont les objectifs, que nous vous livrons dans la suite de ces lignes, font froid dans le dos.


    Il s’agit à la fois de discréditer le président Tshisekedi sur la question sécuritaire, d’accélérer la destruction socio-économique des populations Nande, de pousser ces populations à l’exil et de dégrader les relations diplomatiques entre la RDC et l’Ouganda au profit de l’axe Kinshasa-Kigali

    .

    I. Attaque de Bulongo, cibles annoncées et mode opératoire impliquant les FARDC

    Le 12 décembre 2020, la localité de Kasusu/Nzenga a été attaquée par des assaillants qui ont tué 27 habitants, enlevé 32 autres et pillé des maisons de commerce et des maisons d’habitation, selon le bilan de la société civile. Après l’attaque, ils ont annoncé que la prochaine cible sera la cité de Bulongo située à 5 km à l’ouest de Nzenga. Ils ont même précisé que l’attaque aura lieu entre le 20 et le 23 décembre, ce à quoi les habitants de Bulongo ont réagi en organisant des veillées autour de feux et une surveillance citoyenne de nuit. Mais à la surprise générale, le 21 décembre 2020, les FARDC se déploient dans la cité, font éteindre les feux et dispersent violemment les habitants qui assuraient la surveillance citoyenne. Quelques heures seulement après, les habitants aperçoivent l’entrée dans la cité des « militaires habillés en uniformes des unités commandos ». Et c’est le massacre. Sept civils tués, plusieurs autres kidnappés et des maisons de commerce pillées, dont la pharmacie des sœurs oblates de HURARA.


    Pas besoin d’être devin pour constater le lien entre les FARDC et les assaillants, surtout après la dispersion incompréhensible des habitants qui assuraient la surveillance de la cité. L’occasion de rappeler que d’une manière générale, en territoire de Beni, il n’y a pas de différence entre les FARDC et les tueurs abusivement appelés « ADF ». Même la MONUSCO a déjà reconnu qu’elle ne sait pas faire la différence entre FARDC et ADF. Pour la simple et bonne raison que cette différence n’existe pas. Ce sont les mêmes personnes qui le jour opèrent comme FARDC et la nuit comme ADF. Bien entendu, de nombreux soldats FARDC, surtout venant des provinces de l’Ouest, ne sont pas au courant de cette complicité et implication directe de « leur armée » dans les massacres des populations civiles, et il arrive que ces soldats honnête périssent dans des embuscades tendues par leurs camarades des FARDC au service des agendas ennemis. Des agendas meurtriers que nous allons à présent vous décrire, à partir des informations recueillies de nos investigations sur terrain.

    II. Attaques annoncées de Mutwanga et de Kasindi

    Sur base du même mode opératoire qu’à Bulongo, les prochaines cibles annoncées sont la grande cité de Mutwanga et surtout la cité frontalière de Kasindi. Ces deux attaques sont destinées à perturber les activités commerciales, accélérer la ruine économique de Beni-Lubero en ciblant les banques de Kasindi en installant durablement l’insécurité sur la route commerciale Butembo-Beni-Kasindi. Selon nos sources auprès des officiers FARDC, la cible à Mutwanga est une usine appelée CICOVIR qui fabriquerait du savon et du chocolat. A Kasindi, les cibles seraient principalement les banques qui seront pillées. De la même façon qu’à Bulongo, les FARDC vont empêcher toute forme de surveillance citoyenne locale afin que les attaques se déroulent sans alerte ni résistance populaire.


    Une alerte de dernière minute fait état de la présence de tueurs à Karuruma ; la population locale a pris soin d’en informer les autorités et ;rd officiers FARDC. Réponse des officiers : « nous n’avons pas encore reçu l’ordre d’aller combattre l’ennemi ». Notre informateur nous pose alors cette question en kiswahili, laquelle se résume en cette phrase : « qui doit donner l’ordre à l’armée d’aller attaquer l’ennemi alors que la population a déjà informé les autorités et les FARDC ? » A la question de savoir qui sont ces forces internes aux FARDC qui commanditent ces attaques sous masques ADF, nos sources nous indiquent trois dynamiques pilotées par le commandant de l’Opération Sukola1, le général Cirimwami, opérant sur ordre de Joseph Kabila et des autorités rwandaises. L’acheminement des tueurs s’opère par plusieurs filières dont un redéploiement des unités FARDC du sud de l’Ituri et des forces rwandaises à partir de Rutshuru via le lac Edouard et la vallée de la rivière Semliki.

    Les trois filières de tueurs à destination de la collectivité frontalière de Ruwenzori

    La première filière est celle des troupes anciennement fidèles au tristement célèbre général Mundos, étonnamment nommé, par Félix Tshisekedi, l’inspecteur général adjoint des FARDC en charge des opérations et renseignements. Son supérieur direct, le général Gabriel Amisi est très proche du général rwandais James Kabarebe et des filières du M23, selon un rapport de l’ONG Human Rights Watch qui l’accuse d’avoir recruté ces éléments dans le cadre de la répression contre la population de Kinshasa à la fin du mandat de Joseph Kabila. Ces troupes (du général Mundos), plusieurs fois accusées d’implication dans les tueries de Beni, étaient en position à Mambasa sous le commandement du général Tipi Ziro Ziro. Après plusieurs tueries à Mambasa, la société civile et des notables locaux ont obtenu le départ de ces troupes. Elles ont alors été, en partie, envoyées en collectivité Ruwenzori, tandis que leur commandant, Tipi Ziro Ziro, était muté à Dungu, dans la province du Haut-Uélé. Ces unités, contrôlées par des officiers rwandais, ont organisé un afflux des éléments du M23 qui s’infiltrent par la frontière de Nobili-Kamango vers le territoire de Beni et la province de l’Ituri. Ces éléments du M23 ont même été impliqués dans des massacres en Ituri sous couvert de la CODECO, selon un rapport de l’ONG International Crisis Group. Tellement leur implication dans la crise de la CODECO devenait difficile à dissimuler, ces éléments ont été progressivement canalisés vers Beni, et continuent d’affluer vers la collectivité Ruwenzori. C’est la deuxième filière après celle des troupes anciennement sous commandement de Mundos à Mambasa.


    La troisième filière est directement en provenance du Rwanda. Les assaillants, membres de cette filière, se retrouvent d’abord à Rutshuru, selon la trajectoire qui nous a été décrite. Puis, ils se dirigent vers Vitshumbi où ils prennent des embarcations, traversent le lac Edouard et débarquent discrètement près de Kyavinyonge et s’installent sur un site entre Kyavinyonge et Ishango (voir carte). De là, ils se dirigent vers le territoire de Ruwenzori à travers la pleine de la rivière Semliki. Mwalika est le site où ils rencontrent des officiers FARDC qui planifient les massacres. Ces derniers coordonnent alors leur déploiement vers différents sites où ils campent en attendant des instructions pour passer à l’attaque contre la population. Et Kabila dans tout ça ?

    III. Joseph Kabila, Tshisekedi, l’Ouganda et les Nande

    Joseph Kabila, qui contrôle encore les FARDC, vise trois objectifs derrière la propagation des massacres, selon nos sources. Il ne veut pas que les massacres s’arrêtent à Beni parce que l’arrêt des massacre sera considéré à la fois comme une victoire de Félix Tshisekedi et la preuve que son départ de la présidence de la RDC était finalement la solution à la crise de Beni. Cet arrêt des massacres serait ensuite présenté comme la preuve que c’est lui, Joseph Kabila, qui commanditait ces crimes, surtout depuis qu’il a promis qu’il va rendre les Nande pauvres et transformer Beni en Casamance. Kabila fait donc tout pour que les massacres ne s’arrêtent jamais. Nos sources nous indiquent que Tshisekedi le sait, mais n’arrive pas à agir à cause de son entourage composé en partie d’agents rwandais et des fidèles de Kabila qui coordonnent les massacres, organisent la désinformation en attribuant les attaques tantôt aux ADF, tantôt à l’Etat islamique, tantôt aux Maï-Maï tout en veillant à ce qu’il ne puisse jamais y avoir des procès publics pour démonter leur désinformations. Les mêmes agents coordonnent le recrutement de tueurs, notamment au Rwanda, ce dont Félix Tshisekedi est au courant, mais il est « coincé », selon nos sources, par sa double allégeance au président rwandais, Paul Kagame et à Joseph Kabila.


    Le Rwanda, de son côté, qui contrôle une partie de l’armée FARDC et de l’entourage de Félix Tshisekedi, tient à ce que le chaos s’installe dans cette partie immédiatement frontalière pour que les relations entre l’Ouganda et la RDC se dégradent, que les hommes d’affaires Nande redoutent de fréquenter la route Beni Kasindi, et même renoncent à utiliser l’aéroport d’Entebbe, en Ouganda, pour leurs voyages d’affaires dans le cadre de leur commerce international. L’aéroport de Kigali, au Rwanda, deviendrait le bénéficiaire direct de l’insécurité entretenue sur l’axe Butembo-Beni-Kasindi-Entebbe. L’aéroport de Ndjili, à Kinshasa, est trop éloigné de cette zone économique de l’est.


    Le Rwanda voit aussi d’un mauvais œil le projet du gouvernement ougandais qui envisage d’asphalter les routes entre Kasindi, Beni, Butembo, Bunagana et même Bunia. C’est un projet qui a été annoncé par le président ougandais, débattu au parlement ougandais, et qui aurait même été approuvé par la présidence de la RDC. Enfin, en commettant des massacres répétés dans cette zone directement frontalière avec l’Ouganda, le Rwanda, et ses réseaux médiatiques, tiennent à faire porter la responsabilité des massacres à l’armée ougandaise. Kabila, partisan du chaos en terres Nande, aurait, de son côté, mal vécu une opération éclair de l’armée ougandaise dans les montagnes Ruwenzori, côté RDC. Le bombardement d’un camp de combattants-tueurs du 23 décembre 2017, dont certains avaient été recrutés en Somalie et dont Kabila comptait se servir pour accréditer, auprès des pays occidentaux, la thèse d’un terrorisme djihadiste dans l’est du Congo. Alerté par la présence de ces militants, dont des somaliens, le président ougandais avait ordonné leur bombardement et la destruction de leurs sites et armements, ruinant ainsi les rêves de Joseph Kabila. Selon une source ougandaise, Kabila lui aurait exprimé son mécontentement, mais le président ougandais, dont l’armée est engagée en Somalie contre les islamistes d’El-Shabab, dans le cadre de l’Opération des Nations unies dite ONUSOM, aurait fait comprendre à Kabila qu’il ne pouvait pas tolérer la présence de combattants somaliens dans cette zone frontalière de son pays. Depuis, les relations entre Kabila et Museveni sont glaciales.


    En organisant le chaos dans cette partie du pays, Kabila, toujours fidèle au Rwanda, tente de faire d’une pierre deux coups : prendre sa revanche sur Museveni, en désorganisant l’activité économique frontalière de Beni-Lubero, si utile à l’économie ougandaise, mais aussi en créant un conflit diplomatique entre les deux pays et mettre Tshisekedi en porte-à-faux dans ses relations avec les pays de la région, l’Ouganda en particulier, qui, faut-il le rappeler, est en froid avec le Rwanda. Les soldats FARDC dans tout ça ?

    IV. Les FARDC à Beni : Entre officiers roublards qui ont compris « le jeu » et soldats sous-informés à sacrifier

    A Beni, de nombreux officiers FARDC sont devenus très riches, et n’hésitent pas à exhiber leurs luxueuses voitures qu’ils n’ont pas la possibilité de se procurer avec leurs maigres salaires. Les généraux FARDC ont officiellement une solde de moins de 200 $, ce qui ne représente même pas le budget du plein en carburant de leurs luxueuses voitures sur un mois. La persistance des massacres permet à nombreux d’entre eux de prendre possession des stocks de cacao des paysans tués, de contrôler les filières économiques et même de détourner les fonds alloués par le gouvernement à l’effort de guerre.


    Quelles que soient les motivations de Kabila, de Tshisekedi ou du Rwanda, chaque massacre à Beni est l’occasion pour les officiers FARDC de récupérer des stocks de cacao, les marchandises des commerçants tués et de réclamer au pouvoir de Kinshasa des moyens supplémentaires au nom de la lutte contre des islamistes invisibles (que personne ne voit ni morts ni faits prisonniers de guerre). Le business peut ainsi perdurer. Et dans ce jeu macabre, il y a des soldats FARDC qui n’ont pas compris « le jeu » et qui sont envoyés dans des embuscades orchestrées pour essayer d’accréditer la thèse d’un ennemi islamiste inexistant.


    Nos sources nous informent qu’une réunion s’est tenue à Beni après l’attaque du 12 décembre à Kasusu/Nzenga où la main des FARDC était plus que visible. Dans le cadre de ce qu’on appelle le « sacrifice utile », on décida de faire tuer des soldats FARDC dans une embuscade. 17 vont périr le 19 décembre 2020 au village Kifrere, dans une zone pourtant contrôlée par l’armée. Ce genre d’attaques est fréquent à Beni, et plusieurs soldats les dénoncent, mais leurs cris restent inaudibles face au poids des enjeux derrière la crise de Beni.


    En janvier 2019, un document audio avait fait le tour des réseaux sociaux. Dans ce document, un soldat accusait ouvertement les officiers FARDC et les autorités d’acheminer des tueurs à Beni, de les héberger dans leurs parcelles, de les lancer contre la population, d’interdire aux soldats FARDC d’intervenir pour stopper les massacres et de coordonner le retour des tueurs dans leurs cachettes. Déjà, dès 2014, un groupe des parlementaires avait publié un rapport dans lequel il expliqua l’implication directe des officiers FARDC dans l’organisation des massacres, et des sanctions sévères contre les soldats qui tentaient de prendre l’initiative d’aller secourir la population.


    Ces officiers, clairement identifiés, n’ont jamais été sanctionnés. Pourquoi s’arrêteraient-ils de commanditer les massacres ? Il faut juste prier pour les civils de Beni/Ruwenzori qui vont périr dans les vagues des massacres qui se préparent. Car lorsque l’armée d’un pays et ses autorités décident d’exterminer une partie de leurs populations, la communauté internationale reste incrédule et prend beaucoup de temps pour s’en convaincre. Surtout lorsque l’armée et les autorités se dissimulent derrière un ennemi présenté comme islamiste.


    Nous livrons ces informations pour que demain personne ne dise qu’il n’était pas au courant. Le salut ne viendra pas des autorités qui ne font rien, même lorsque la population les alerte. Le salut viendra d’une large diffusion des informations à temps réel et du partage des alertes, chaque fois qu’une attaque ennemie devient quasiment certaine, comme contre la cité de Bulongo le 21 décembre, et dans les jours/semaines à venir, contre les cités de Mutwanga et de Kasindi.


    Bien entendu, à long terme, c’est au président de la République et au gouvernement de faire le ménage dans cette armée, tellement remplie de forces ennemies que même les soldats loyalistes eux-mêmes ne s’y sentent pas en sécurité.

    Antony Kasereka

    ©Beni-Lubero Online.

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    * Le Mont Rwenzori 5 110 m d’altitude, le troisième sommet d’Afrique après le Mont Kilimandjaro (5895 m) et le Mont Kenya (5 199 m). Le Mont Rwenzori a à son plus haut sommet un glacier éternel. Le territoire de Beni est le seul  endroit au Congo où il neige chaque jour depuis toujours! Le premier européen à voir cette beauté naturelle fut Henri Stanley Morton en 1889.
    * Le Parc National des Virunga, avec sa faune et sa flaure très diversifiées.
    * La rivière Semliki, très poissonneux, irrigue le Parc National des Virunga, se jette dans le fleuve Nil, et constitue une des nombreuses sources du Fleuve Nil, question longtemps debattue par les explorateurs de lAfrique.
    * Archéologie: L’homme d’Ishango est un des plus anciens fossils de l’humanité. Ishango c’est un petit site situé aux abords du Lac Edouard et de la Rivière Semliki. L’Os d’Ishango classé au Musée de Sciences Naturelles de Bruxelles (Belgique) est parmi les plus anciens du Monde et daterait de 20. 000 Av.J.C. d’autres le date 9000 Av.J.c. et d’autres 6500 Av.J.C. Pour savoir plus à propos du bâton d’Ishango: http://www.ishango.be/fr2005/historique-histoire.

    Beni-Lubero sont deux territories qui donnent sur le Lac Edouard.
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    Beni c’est la ville du café, du bois, et de la Papaye!

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