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    Home»Culture»Kinande»Bouillon de Culture Nande: Le bananier (E’mboko)
    Kinande

    Bouillon de Culture Nande: Le bananier (E’mboko)

    webmasterBy webmaster03/06/2006Updated:16/01/2016Aucun commentaire7 Views
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    Dans la société Nande, la banane occupe une place de choix dans la vie courante.
    Elle est cultivée pour la consommation. La banane se consomme soit cuite : banane plantain (amatimo) soit mûre : banane dessert de table (ameru, akalole). Elle sert aussi pour la fabrication de la bière « KASIKSI » boisson alcoolisée consommée localement ou commercialisable.

                    E'mboko y'eKivetya

    Chez les Nande, posséder une bananeraie est traditionnellement un signe de richesse, d’appartenance au village, un signe de stabilité et de la volonté de demeurer dans un lieu toute sa vie avec toute sa famille.

    Mais aujourd’hui, comme le bananier « e’mboko » n’est pas devenu un véritable « cash crop » ou une culture dont la vente ramène beaucoup d’argent au planteur, le bananier tend à être associer au sous-développement du muNande surtout pour ceux qui lui reprochent de produire la Kasiksi qui saoule les gens et de fois les rend paresseux. Certaines expressions nande comme « erilw’emboko » = sortir de la bananeraie, signifient progrès, développement. Quelqu’un qui vit dans la bananeraie est considérée comme moins développé, ce qui est faux car dans d’autres pays, la banane est un véritable cash crop au même titre que le coltan, l’or et le diamant. En Ouganda, la banane ou bitoke, est une véritable culture à sous, une culture pour l’exportation vers l’Europe.
    Une bananeraie au village de Kisalala
    Nous nous sommes intéressés à la banane lors de notre séjour au village de Kivetya (Malio) et de Makungwe (Isale) pour revaloriser la culture de la banane chez les Nande, surtout les jeunes qui pensent que la culture de la banane est réserve aux grands-pères ou aux vieux. Avec une économie bien organisée, le pays du Munande peut se développer rien qu’avec la banane.
    La plante du Bananier
    Les milieux de culture intense de bananiers sont le Groupement MALIO (Kivetya, Kasitu, Butuhe, Maboya,…..), le Groupe BUNYUKA (Vitungwe, Bunyuka, Isale, Vulegha, Kyamavi, Luhanga, …), Collectivité des BASWAGHA (Musienene, Muhangi, Mabambi, Muhola, etc.).
    Le bananier appartient à la famille des musacées (Musaceae), c’est une plante herbacée, annuelle dont la taille du pseudo-tronc varie de 1.5 m à 8 m selon les régions. Le bananier n’est pas un arbre mais plutôt une herbe géante s’élevant parfois à plus de 8 mètres de haut. C’est une plante vivace à grandes feuilles renfermant 80% d’eau. Le bananier n’a pas donc de tronc, il a un pseudo tronc car il ne contient pas de bois. Le bananier est la superposition des feuilles qui le maintien debout. C’est ainsi qu’on peut comparer le bananier à un poireau géant. Le bulbe porte des yeux qui évoluent en rejets. Le rhizome constitue la tige .La tige est formée des gaines, épaisse de 5 à 8 m constitue la feuille prolongée par un pétiole et un limbe. Les fleurs mâles et les bractées forment ensemble le bourgeon mâle de couleur brun-violet (embalavala). Lorsque le bananier atteint sa maturité, la fleur apparaît. C’est une fleur complexe (inflorescence) qui pointe vers le ciel avant de se déployer vers le bas avec un bourgeon mâle souvent en forme de coeur. Sur cette fleur, il y a les bractées (violette) qui dissimulent les fleurs. L’éclosion des fleurs femelles a lieu avant les fleurs hermaphrodites et les fleurs mâles. Une fois fécondés, les ovaires de la plante donnent naissance aux fruits. La banane pousse en grappe (mains ou pattes) qui compose le régime et pèse entre 5 et 50 kilos selon la richesse du sol et le soin donné à la plante.
    La plante du bananier possède trois types des racines : les racines verticales (à la base du bulbe), obliques (qui s’enfoncent dans le sol), superficielles (les plus nombreuses).
    Le bananier une culture pluriannuelle. La plantation se fait par des rejets de divers types : rejets sevrés, rejets bouillonnettes,….Après plantation, l’entretien des premières années est à imputé aux cultures vivrières qu’on y intercale : haricots, mais,….Trois ans plus tard, la plantation devient, après quelques soins peu coûteux et une fumure suffisante, constante et assurée. Sur le plat agronomique, la culture du bananier a deux principales contraintes qui limite sa pratique : l’écartement utile entre les voisins qui nécessite une grande étendue pour un seul champ et de l’autre la pérennité de la culture qui exige qu’elle soit seulement praticable par les autochtones de chaque milieu ou au moins par des anciens occupants. Ainsi, la culture est pratiquée par peu d’individus qui restent le mêmes toutes les années, les nouveaux planteurs ne pouvant être enregistrés qu’en zone de forêts.
    Eléments historiques du Bananier
    D’après la légende de l’émigration des Nande de Kitara en Ouganda à Isale en R.D.Congo, les premiers émigrants n’avaient pas de bananier. On pense que le bananier serait venu de la collectivité des Bashu, en territoire de Beni. En effet, les premiers hommes qui traversèrent la rivière semliki avaient trouvé des pieds de bananier dans la vallée de la rivière Talihya. Le bananier du Grand Nord n’est pas d’origine ougandaise. IL était déjà là comme disent les vieux : akeyivwaho ! D’après cette légende, c’est Muhiyi qui traversa le premier, il s’installa à Isale [(entendez par là : l’endroit où se trouve « Ise ». c’est-à-dire , le « Père » ( Eyo-Ise- Ali) : Notez que le mot Ise en Kinande veut dire la même chose que Ish en Hébreux : un autre rapprochement linguistique qui milite en faveur de la thèse de Beni-Lubero, berceau de l’humanité) ] au pied du Mont Mughulungu, dans une grotte qui existe encore aujourd’hui et sur laquelle BLO est entrain de préparer une reportage. Le premier munande du nom de Muhiyi ayant traversé la rivière semliki, la légende rapporte que cette traversée fut facilitée par un dragon qui permit que son dos serve de pont), planta les premiers bananiers en provenance de la vallée Taliya sur ce flanc du Mont Mughulungu, en localité de Bunyuka-Vitungwe, village de Isonga. Toutes les boutures de bananiers de Beni-Lubero seraient ainsi venues de cet endroit historique qui mérite une stèle commémorative! Ainsi, les Baswagha ayant été libérés par les colons belges de leur rang de vasoki par rapport aux Bashu, partirent vers Musienene et Muhangi avec des boutures des bananiers. La propagation aurait suivie le chemin suivant la direction Ouest vers l’Est Ighovoghovo-Kirena-Vukuka-Mutiri, etc.
    .
    Les variétés du bananier
    .
    Trois grands types :
    1. Variété à bière : « Vutsipa » comprenant : Tundu, Kihuna, Ngamatayiri, Ngoromora, Kiware, Mukindiro.
    2. Variété à cuire : « Vutimo » ou « Kanyamunyu » comprenant : Nyaghenge, Pakuma, Amarambya, Kihenzehenze, Kiwara, Ntavawara, Ngoromora, Ya Ouganda, Nziravahima, Kinyambururu,…
    3. Variété à farine : «Vuvughu » : Ngumwe, Kingalu, Kasilongo, Kikotina, Ya Oicha, Ngoromora, etc.

    E’ mboko y’ovuvughu

    4. Variétés mixtes (probablement venues d’ailleurs) :
    – Kitika Sukari : à bière ou à cuire
    – Nzira vahima : à bière ou à cuire
    – Banane de tables : Kalole, Kisubi-banane, Kisubi-musa.
    Le nombre des mains sur un régime varie de 2 à 6-10-15-20-24 selon le type de bananier et de la fertilité du sol.
    Types de bananeraies
    Le bananier est cultivé soit en culture pure soit en association avec d’autres cultures (haricots, mais, igname,…). Comme culture pure, on le retrouve dans le cinq circonstances que l’on peut considérer comme cinq types des champs distincts :
    1. Bananeraie entourant les habitations= « bananeraie de case »
    2. Bananeraie abandonné lors du déménagement d’un village »Matongo »
    3. Bananeraie sur colline en première année de culture ou bananeraie de défrichement.
    4. Bananeraie de bas fonds drainés (omushya)
    5. Bananeraie de colline suivant une autre culture
    Modes d’utilisation du bananier
    1. Régime de banane : soit vendu, soit à cuire pour consommation
    2. Farine de banane « Kafulu » issu de Vuvughu ou de Vutsipa
    3. Bière de banane avec alcool : Kasiksi, omunzenze, ovukwele,
    4. Bière de Banana sans alcool : Eyisande, ovukwele sans alcool,
    5. Whisky des bananes : Mangwende, kabali,Mutu Apime, Ouganda waragi, etc.…
    6. Les « Visika » écorces ou fibres de bananier pour la construction des toitures. Ces écorces peuvent aussi servir de corde pour attacher les chèvres ou comme emballage des récoltes, des tissus, des vêtements, des chapeaux, des filets de pêche, des matériaux composites (garnitures de voitures, cloisons), etc.
    Vase de fermentation ( O’muhe) de la Kasiksi
    Les concepts appliqués à la bière des bananes
    – Omuhongolo (bière fraîche du premier cru)
    – Ovututsi (bière faite sans mélange d’eau)
    – Akavomboli (la première gorgée du propriétaire de la brasserie)
    – Etsindukya (calebasse de bière apportée au Mwami du Village)
    Le bananier dans la vie sociale Nande
    La répartition de la bière à l’auge (Omuhe) aux ayants droit. Bref, la bière est partagée entre 5 calebasses reparties comme suit :
    1. Etsindukya pour le chef du village
    2. Vukulu pour propriétaire de la terre où se trouve la bananeraie
    3. Kihasa pour le propriètaire de l’auge
    4. Vukami pour les brasseurs
    5. Ndeko pour tous les hommes et femmes du village, et tous ceux qui sont présents.
    La première quantité de bière appartient au propriètaire de la boisson qu’il prend devant tout le monde pour démontrer que sa bière ne contient aucun poison et que s’il y a un poison, qu’il soit le premier à en mourir. Cette quantité est dite : akavomboli. Ensuite au retire la quantité dite «Omuhongolo » de ceux qui sont arrivés le matin pour la distribution. On enlève ensuite les différentes calebasses des ayant droits (le chef, les brasseurs) et enfin, la quantité prévue pour le commerce dans les bars ou kivende du village. Ce fait souligne que traditionnellement la bière n’est pas faite pour la vente. Elle a un rôle social, et elle est gratuite. Ne sont exclus de sa consommation que ceux qui sont exclus de la communauté villageoise tels les Vakumbira, les malfaiteurs, etc.
    La bière dans la hutte à palabre « Kyaghanda »
    La calebasse « Ndeko » est amenée dans le « Kyaghanda » ou le chef et tous les villageois sont conviés. Les passants y ont aussi une part « Omuteho » symbole d’unité entre différents villages et différentes collectivités.
    Le distributeur peut être unique («Omutengi ») dans un village. La première part est donnée au propriètaire de la boisson, la deuxième au chef, enfin vient les autres. Dans la hutte on traite les problèmes divers pendant qu’on sirote calmement son verre de bière. La bière sert à consolider les relations et donne du courage (effet dopage de la bière) à dire certaines vérités difficiles à dire. Le lieu où se prend la bière qu’on appelle « Ekilumbiro » est ainsi un véritable forum des villageois où les buveurs (avanywi ou avalumbi) et les saoulards (avatamiri) socialisent, échanges, de fois se battent. Mais toute infraction commise dans un Ekilumbiro est punissable le lendemain par le tribunal du village. La plaisanterie au sein d’Ekilumbiro a des limites. La querelle n’est pas permise au risque de payer une amande.
    La bière et les relations entre diverses familles
    La famille de la femme transporte la bière dans la famille de son gendre en signe d’union entre les familles. En revanche, elle recevra une chèvre. A un ami, un oncle, ce transport «Erihekera» est aussi valable. La quantité à apporter est variable : 2 calebasses de kasiksi, un régime de bananes, cela 2 à 3 fois suffisent pour donner une chèvre. lorsqu’il y a deuil au village, la bière ne peut plus sortir. Elle est destinée au deuil.
    Le « Vuruma » : c’est une amitié dans le but de manger ou de boire ensemble ou encore de se réjouir ensemble .A chacun revient le tour de fournir la bière, ou la nourriture et vice-versa .
    Le bananier et le rang social
    Chez les Nande, la valeur de quelqu’un est relative à la grandeur de sa plantation des bananes. Celui qui a une bananeraie est bien écouté, mieux respecté car il brasse régulièrement.
    Les tabous en rapport avec le bananier et la kasiksi
    Dans la société Nande, la préparation, la consommation et l’approvisionnement en bananes à cuire exige une série de règle à suivre entraînant une condamnation en cas d’infraction.
    Les actes suivants sont interdits :
    1. Récolter en premier lieu la variété à bière dans une nouvelle plantation
    2. Couper un ou plusieurs pieds de bananiers (symbole de vouloir tuer l’homme) d’autrui
    3. Commencer le régime des bananes au niveau du gros fruit lors de la préparation
    4. Couper longitudinalement la banane lors de sa consommation
    5. Employer la hache pour abattre un bananier (eritwa ovutimo vomombasa)
    6. Siffler (erikungya) dans la véranda ou dans le Kyaghanda
    Pouvoir médicinal et nutritionnel du bananier
    Chez les Nande, le bananier qui est dans certaines régions la culture principale possède un grand pouvoir médicinal. Sa bulbe en décomposition sert de pommade au pansement des plaies, au massage (erihimata a’mabune) etc. La banane sert aussi dans la lutte contre les troubles digestifs et le rhumatisme. Aliment hydrocarboné comme la pomme de terre, la banane renferme des vitamines A, B1, B2, C, E et pas mal de sels minéraux comme le potassium et le magnésium. Dans cent grammes de banane, on trouvera: eau : 72.3gr, glucides : 22.5gr, protides : 1.1gr, lipides : 0.2gr, calories : 96, sodium : 1mg, potassium : 383mg, calcium : 8mg, magnésium : 36mg, phosphore : 27mg, fer : 0.7mg.
    Droit Foncier Nande
    La culture de la banane est reconnue dans le droit foncier nande, et dans certains endroits comme dans les groupements Bunyuka et Malio, la culture du banane est une unité de référence ou de mise en valeur d’un terrain. En d’autres termes, un terrain où l’on a planté un bananier devient une propriété privée et il a de la valeur.
    Il existe 2 types de droits fonciers chez les Nande : le Muhako et le Ngemo.
    Le « Muhako » est payé par le Musoki (vassal) au Mwami chaque année et peut être une chèvre, un panier de récolte, une cruche de bière « Kasiksi », etc.
    Le «Ngemo» est payé à chaque saison de la récolte. Le Ngemo est un contrat locatif dont le prix se calcule en fonction de la qualité des récoltes. Lorsque ce droit s’applique à une culture pluriannuelle comme le bananier, il tend à devenir pérenne et héréditaire. A Isale, c’est le caféier qui régule le droit foncier. Bref l’organisation politico-socio-foncière suit l’échelle montante : Mughunda-Musoki-Mukama-Mwami.
    .
    Juvénal Paluku
    Butembo
    Beni-Lubero Online

    .

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    * Le Parc National des Virunga, avec sa faune et sa flaure très diversifiées.
    * La rivière Semliki, très poissonneux, irrigue le Parc National des Virunga, se jette dans le fleuve Nil, et constitue une des nombreuses sources du Fleuve Nil, question longtemps debattue par les explorateurs de lAfrique.
    * Archéologie: L’homme d’Ishango est un des plus anciens fossils de l’humanité. Ishango c’est un petit site situé aux abords du Lac Edouard et de la Rivière Semliki. L’Os d’Ishango classé au Musée de Sciences Naturelles de Bruxelles (Belgique) est parmi les plus anciens du Monde et daterait de 20. 000 Av.J.C. d’autres le date 9000 Av.J.c. et d’autres 6500 Av.J.C. Pour savoir plus à propos du bâton d’Ishango: http://www.ishango.be/fr2005/historique-histoire.

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