





Une observation scientifique des faits et gestes de Kabila le jeudi 19 juillet dernier lors de son discours devant le congrès, laisse découvrir un ADIEU plutôt qu’autre chose. Analyse:
1. Le discours devant la nation se fait « toujours » à l’ouverture de la session parlementaire. Cette fois-ci il a choisi la fin de la session.
2. L’annonce faite 48 heures seulement avant a créé un effet de surprise dans l’opinion.
3. Lorsqu’il arrive il ouvre lui-même la portière de sa voiture, une chose jamais faite, s’agissant d’une manifestation officielle. Cela prouve qu’il a peur et qu’il n’a plus confiance à sa garde.
4. Son attitude pendant et après le discours. Il a un regard fuyant, ne fixe presque pas son auditoire, la voix tremblante. Peur et honte. Le facial évoque un personnage excessivement fatigué. Il supporte difficilement le poids de ses charges professionnelles et toutes les pressions tant intérieures qu’extérieures.
5. Après le discours il serre les mains de quelques invités, de son frère et embrasse sa sœur. Un acte rare après ses discours antérieurs.
6. Et surprise! Quel est le sens, la raison de cette réception au sortir du parlement? Acte très rare aussi.
7. Au cours de la réception il paraît être à la fois distrait et inquiet. Il est là malgré lui.
8. L ‘ homme a peur, très peur, il vit dans l’angoisse permanente.
9. Il aurait voulu tout abandonner immédiatement mais il est pris en otage par ses collaborateurs et ses courtisans.
10. Une interrogation pertinente. Pourquoi avoir fait voter, presque dans la précipitation et au cours de cette toute dernière session parlementaire la loi sur les anciens chefs de l’Etat élus, visant leur protection ? (c’est qu’il est conscient du sort qui l’attend lorsqu’il déposera le pouvoir)
11.Son cas devient inquiétant et cette situation peut le rendre malade psychologiquement et physiquement.
« CE JOUR AURAIT DÛ ÊTRE LA JOURNÉE DES « ADIEUX », mais que les opinions n’ont pas pu comprendre.
D’où, Bien des choses peuvent se passer d’ici le 8 Août 2018, mais aussi entre le 8 Août et le 23 décembre 2018.
Un Observateur proche du pouvoir en place.
©Beni-Lubero Online.






Un commentaire
On peut tromper tout le monde un jour, mais jamais toujours. Maintenant l’heure est au dévoilement.
La vérité est et restera toujours têtue en faveur des innocents.