





Préoccupé par l’ampleur de la tragédie institutionnalisée de Beni et ses ramifications dans plusieurs autres zones de l’Est de la RD Congo, BLO s’est penché à fouiller et à rechercher le véritable moteur de ces événements pour mieux comprendre leur raison d’être.
Les données récoltées font état d’un effort sans pareil du pouvoir en place à Kinshasa à convaincre les opinions (nationales et internationales) de l’existence d’un réseau d’organisation terroriste opérationnel au Congo, précisément à pied d’œuvre de massacre à Beni, dans le but de détourner l’attention sur l’inculpation du pouvoir en place dans ce crime, mais aussi pour distraire les congolais trop concentré sur l’attente de la fin du mandat du président Kabila.
Jusque-là le régime en place a colporté des faits de tous genres pour satisfaire à ce besoin. Cependant, en aucune circonstance, ses multiples arguments mensongers n’ont pu gagner la conviction des esprits.
Devant cet échec, le président Kabila, suite au conseil des amis dont nous nous abstenons de donner immédiatement l’identité, a finalement décidé de mettre sur pied une véritable entreprise terroriste qui fournira des preuves d’une telle réalité et qui, en elle seule suffira comme un argument devant lequel nul ne pourra résistera.
Bien sûr on n’en est pas encore là. Même ces massacres les plus sanglants que vient de connaitre la ville de Beni au weekend dernier n’est pas encore l’œuvre de ces véritables terroristes classiques annoncés. Cependant, ces derniers sont déjà prêts pour l’action et certains sont déjà sur terrain. Le dernier événement sanglant de Beni est juste une transition vers leur intervention réelle imminente.
Bien plus, le message du Gouverneur Julien Paluku de ce dimanche, conçu de mèche avec celui (télévisé) du Ministre de l’Information Lambert Mende transmis le même jour, est justement l’annonce masquée du projet d’installation desdits terroristes classiques qui viennent d’être recrutés dans des milieux étrangers (pays) spécialisés dans ce domaine.
Les détails à bientôt !
©Beni-Lubero Online.





