





Selon Me Jean-Claude Muyambo, les élus du Katanga étaient connus bien avant les élections sur décision des Moguls Katangais du Pouvoir. Les acteurs de la fraude auraient reçu 1 000 000 US$ pour favoriser la fraude par les bourrages des urnes. Des PV pre-établis étaient distribués aux observateurs pour favoriser les amis du pouvoir actuel.
Si l’opposition politique congolaise n’arrive pas à capitaliser sur ces preuves de fraude avérée et établie par des membres du Parti au Pouvoir pour faire valoir le droit et la démocratie en RDC, elle aura fait son temps et doit être remplacée.
La diaspora congolaise, l’Archevêque Cardinal Monsengwo, les Prêtres et les Chrétiens de l’Archidiocese de Kinshasa sont déjà à pied d’oeuvre. Il ne manque plus qu’un leader rassembleur pour piloter jusqu’à bon port le mouvement de la révolution congolaise. Le peuple congolais n’attend que cela pour reserrer les rangs de la révolution congolaise. 8 millions des morts congolais, l’enrichissement illicite d’une élite compradore, le pillage des richesses du sol et du sous-sol, le dysfonctionnement de l’Etat congolais, l’apprauvrissement des masses populaires livrées à elles-mêmes, etc. sont autant d’ingredients pour mobiliser le peuple congolais qui doit se libérer aujourd’hui ou disparaître de la face de la terre. Le monde observe ce que feront les congolais dont la souffrance et l’oppression sont connues de tous. Le manque de soutien international au peuple congolais vainqueur des élections du 28 novembre 2011 est un avertissement qu’il ne faut pas attendre que la communauté internationale fasse tout à la place des congolais. A l’instar de la Tunisie, de la Syrie, du SENEGAL, etc. les congolais doivent s’unir pour lancer leur révolution… Les collabos de l’intérieur qui font craindre le coût humain de cette révolution sont des ennemis du peuple congolais qu’il faut traiter comme tels. C’est la loi de toute révolution.
Source: Radio Tv LAVDC
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