





Avec une exception qui vient de la Ville de Goma, toutes les réactions reçues au sujet de l’attaque de Furu par des militaires Fardc et par la Police, condamnent le Maire de Butembo, Mr Hubert Syahetera pour avoir ordonné l’attaque du quartier patriotique de Furu. La réaction d’un Nande de Goma prévient que l’éviction du Maire Hubert peut créer un vide dont a besoin l’ennemi pour caser les siens. L’exemple de la ville de Beni est frais dans la mémoire !
Une réaction d’un Nande de Butembo s’attarde sur le cumul de deux mandats publics exercés concomitamment par le Maire Hubert, membre du PPRD, qui est à la fois Député National et Maire de Butembo, contrairement à la loi congolaise. Les différentes réactions démontrent que, la démocratie congolaise n’ayant pas encore atteint le niveau local, ceux qui en veulent au Maire Hubert ne savent pas comment se débarrasser de lui. En l’absence d’un conseil municipal élu, les accusateurs du Maire Hubert ne savent pas s’il faut recourir au Gouverneur qui est indépendant pour suspendre un maire du PPRD dans une ville où le RCD-K-ML fait la loi ? A suivre ! (Beni-Lubero Online)

Le Maire de Butembo, Mr Hubert Syahetera, debout, le Micro à la main
0. Réaction du Kyaghanda Cape Town (Afrique du Sud)
Je viens de lire avec amertume le déroulement de l’affaire FURU et je dis: c’est triste, vraiment triste. La communauté Nande de Cape Town que nous dirigeons condamne les atrocités et le manque de respect de la vie humaine que démontrent les agents qui sont supposés nous sécuriser. Nous savons que le Maire actuel de Butembo a une conscience et aujourd’hui nous lui en prions d’en faire usage et nous donne une explication, et une bonne.
Pour la communauté Nande de Cape Town, Afrique du Sud,
Kasereka Ndwiko Maurice
Email: ndwikok@yahoo.fr
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1. De Papy Matsoro (Afrique du Sud)
Monsieur le maire,
Quelle déception de lire des tristes nouvelles en provenance de Butembo, Une ville qui venait d’avoir la chance d’un maire jeune !
Nous exigeons une réponse à toutes ces inquiétudes de nos populations.
le moment de changer profondément le style de gestion de nos ville est arrivé, le maire est le garant du bien être de la population est non son oppresseur.
Butembo a besoins d’un Moise,
Butembo a besoin d’une décision de la population de prendre à main leur destin, quand l’esclave décide d’être libre, les chaines tombent !
Pappy Matsoro
Afrique du Sud
2. Enfin, l’ennemi de Nande est là !
Dieu dit à Caïn : « Où est ton frère ? ». Je voudrais, par ce pli, émettre mon point de vue à propos de ce qui se passe à Butembo et précisément dans le quartier Furu.
En effet, les images qui sont sur le site Benilubero donnent non seulement à penser mais et surtout urgent la démission, sinon la suspension du maire de la ville de Butembo. Au fait, existe-t-il le respect de l’être humain ? S’il faut même brutaliser un bébé de deux mois !!!
Où est la morale militaire ? Comme si l’on n’a aucune notion biblique. Et pourtant celle-ci note que l’homme est créé à l’image de Dieu. « Faisons l’homme à notre image… Homme et Femme il les créa » Gn 1,26-27
Par ailleurs, toutes ces implications dont le Maire de la ville est l’auteur démontrent noir sur blanc que l’homme, loin d’être qualifié à partir de ses dires, doit plutôt être qualifié à partir de son agir. Pas plusqu’hier, nous avons été flattés par le discours somnifère du Maire dans lequel il promettait l’opération « j’aime Butembo ». Aujourd’hui, comme pour remercier tout ceux qui participent activement à l’accomplissement positif de l’opération « j’aime Butembo », l’opération « je hais Furu » érige son domicile dans la ville. Finalement, il faudra se préparer au lancement de la troisième et dernière opération, à savoir ; l’opération « je hais tous les Nande ».
« D’où viennent les guerres, d’où viennent les batailles parmi nous ? N’est-ce pas précisément des intérêts égoïstes, des passions qui combattent dans nos membres ». Cette réflexion articulée par le vieux sage, à la personne de Monseigneur Emmanuel KATALIKO peut être aujourd’hui appliquée au vaillant auteur de l’opération « je hais Furu ».
D’où vient cette mentalité ?
Où est ton frère de Furu ?
Qu’as-tu fait de ce Bébé Trésor ?
Je pense que l’on doit apprendre que « toute vie doit finir » et ainsi vivre comme si on ne vivait pas. N’est-ce pas parce qu’il y a des hommes qu’il y a aussi un Maire ! Il n’y a pas de Forêt sans arbres comme il n’y a pas de Maire sans une population.
Enfin, l’ennemi de Nande est là. Qui est-il ? N’est-ce pas celui qui, volontiers, veut effacer de la surface toute la nation en commençant par le petit Trésor et les parlementaires de Furu. Oh ! Si l’on devait encore se souvenir de ce beau chant de Mayaya SANTA : « Qui tue par l’épée, périra par l’épée ».
Il est temps de revenir à la raison et de lancer une dernière opération, je cite, l’opération « je demande pardon à tous et je soutiens les parlementaires de Furu pour la bonne marche de la ville ». Où est ton frère Monsieur le Maire Hubert ? Et ce bébé Trésor, qu’avait-il fait de mal ? N’oubliez jamais que le maître a besoin de son chien quand celui-ci, chien, est à bonne santé. En cas de maladie, il l’accuse de rage. Et la finalité….
Jean Paul NZANGA.
(Afrique du Sud)
3. Le maire de Butembo : Un an déjà (Umbo Salama)
A l’arrivée de l’honorable Hubert SYAHETERA à la tête de la Mairie de Butembo, les bubolaises et bubolais se sont frottées les mains espérant voir pour la première fois leur cité dotée d’un «Bertrand de la Noé ».
Le locataire de l’hôtel de ville, honorable Hubert a suscité plus d’espoir que de peur jusqu’ à s’attirer toute la convoitise de la population laquelle l’a accueilli triomphalement au bas de la passerelle de son avion à l’aérodrome de Rughenda ; telle l’entrée du Fils de l’Homme à Jérusalem. Vieux, adultes et enfants ont tous abandonné leurs activités dans l’unique but d’aller voir celui qui pourra essuyer leurs larmes car jamais de son vivant ladite population n’a jamais vu un Maire à la hauteur de ses chevilles.
La population pensait que comme son prédécesseur, l’honorable Wabunga Singa Zebedé venait de se fainéantiser à la Mairie, lui par contre, pourra redorer l’image d’un hôtel de ville longtemps terni par des imposteurs qui s’y sont succédés ; à dater du règne de MALEKANI SAGHASA jusqu’au trop controversé Monsieur Wabunga Singa Zebedé
La population ne s’est pas mise en tête un seul moment comme quoi : « Chassez le naturel, revient au galop ». Douze mois ont suffit pour que du reste l’espoir s’envole en fumée et de constater que Monsieur HUBERT SYAHETERA n’était pas l’oiseau rare au profil escompté à la tête de la Mairie de Butembo.
L’observateur retiendra que Monsieur Hubert n’a jamais donné le bilan de ses 100 premiers jours au trône de la ville de Butembo. Telle est la tradition de l’administration au monde. Certes il ne pouvait pas y parvenir car au lieu de se mettre directement au travail, il a brillé par une fuite en avant en faisant du tourisme en Chine. Environ trois mois d’absence de la ville. Déjà cela a sauté à l’œil du patriote comme étant un faux fuyant. Au lieu de joindre la parole à l’acte, le Maire Hubert a préféré de se créer des ennuis inutiles avec certaine couche de la population de la ville de Butembo notamment les agents de la Radio Télévision Nationale Congolaise sous station de Butembo Beni, le service urbain de l’agriculture pêche et élevage, le patronat des opérateurs économiques de la ville de Butembo, les habitants de la partie nord de la ville. Les chroniqueurs considèrent à coup sûr que vu l’état calamiteux de la ville de Butembo, Hubert n’a pas le portrait robot que les filles et fils de Butembo attendaient.
En saison sèche le bubolais et bubolaises courent beaucoup des risques d’une éventuelle épidémie de la pneumonie suite à l’état poussiéreux qui caractérise toutes les avenues et toutes les rues de la ville. En saison de pluie c’est la boue qui joue paradoxalement le rôle du macadam.
« J’aime Butembo » : un projet cher au maire hubert
En date du 19 mai 2009, en présence de la presse, de la notabilité locale, des opérateurs politiques et des couches sociales de toutes tendances confondues , un vaste et ambitieux semblant de programme est présenté par le maire de la ville de Butembo: le projet "j’aime Butembo" qui consiste au paiement volontaire de 1000 Franc congolais au moins par habitant en contre partie de l’asphaltage de toutes les artères de la ville, à l’exception de la grand route qui est réservée au pouvoir central et provincial.
Rappelons que depuis son arrivée à la tête de la ville de Butembo, le nouveau maire n’est pas à sa première promesse. Déjà lors de son flamboyant accueil qui suivait la notification de sa nomination, il avait promis aux jeunes artistes des tournées au Kenya, au Brésil et dans d’autres pays du monde.
Lors de son investiture, il a aussi promis transformé Butembo à la lumière parisienne. On peut comprendre, une année après, qu’il se recherche encore pour faire de Butembo son rêve, pendant un mandat dont les jours sont connus de Dieu et des Anges.
"J’aime Butembo" est-ce un projet ou une chanson? C’est la véritable question que tout le monde doit se poser, du moins ceux qui aiment Butembo .Car si le simple fait d’aimer Butembo suffirait dans la bouche, la ville de Butembo serait déjà un paradis terrestre.
L’erreur de certains opérateurs politico administratifs qui passent par la fenêtre en lieu et place de la porte, c’est de penser qu’après avoir visité une belle ville d’Europe, des USA, de Chine, on peut la déplacer et la planter ailleurs comme on le fait pour des écrans, des matelas, des motos, véhicules…
En effet, il est connu de tous que le projet d’asphaltage des avenues et rues est un projet coûteux que la simple aumône de 1000 francs Congolais puisse même le commencer. Aucune entreprise de construction ne peut accepter les premières études du projet avec moins de 50 000 dollars, sans même parler du projet qui, lui-même, coûterait, si c’est vraiment toute la ville qui est concernée, des centaines des milliers des dollars. D’ores et déjà, il faut dire que l’asphaltage ne doit pas être lié à un rêve qu’on se fait la nuit et qu’on vient déclamer le jour.
Tout le monde reconnaît que les travaux faits, ce n’est pas l’idéal attendu, mais voilà le coût. Au Rwanda voisin ou il y a une entreprise allemande, un kilomètre coûterait 1 500 000 dollars US.
Alors, si on fait une simple projection, Butembo compte environ 600 000 habitants, soit pour une moyenne de 7 personnes par ménage, on envoisine 100 000 maisons, soit 100 000 000 de francs congolais à recouvrer ou presque 120 000 dollars US. Pourtant, mis à part ceux là qui ne vont pas payer parce qu’ils trouvent le projet irréaliste, il y a plus de 60 pourcent d’autres citoyens qui vivent avec moins de 1 dollars par jour ou tout au moins des aliments du champ et qui ne peuvent avoir cet argent dans une récente conférence sur la lutte contre la pauvreté, le Dr MUNDAMA avait révélé que le PIB par habitant à Butembo est de moins d’ 1 dollar le jour. Alors, ce sera compréhensible que bien de Bubolais ne répondent à ce rendez vous, même ceux qui pouvaient donner au maire le bénéfice de la bonne foi. L’erreur des autorités publiques de Butembo, c’est de penser que l’amour suffit pour changer. Mais le goudron, les machines, le matériel, la route elles même ont un prix.
Enfin, la mairie dispose d’un budget qui ne prévoit aucune rubrique dénommée “asphaltage", autrement pas même un franc n’est prévu pour ce qui est demandé aux volontaires qui vont financé le projet. Comment peut-on demander à la population ce que, soi-même, l’on est incapable de faire? Si amour il y a, il ne faut pas demander à l’autre ce qu’on ne peut faire.
Autrement dit, le projet "j’aime Butembo", c’est juste une simple mascarade qui galvanise la manducation politique. A l’avenir de juger si une promesse irréaliste peut payer car Jésus ne disait-il pas que celui qui sème le vent, récolte la tempête.
Mais la question de crédibilité morale ne le dérange pas car jus qu’aujourd’hui’ il a peur de renoncer au mandat de député national, profitant du retard de son invalidation afin de continuer à recevoir et la prime de la mairie et les émoluments indus; bien sûr indus parce qu’à travail égal, salaire égal, disait Karl Marx. Question d’éthique politique.
Le Maire de ville de Butembo cumule deux mandats publics
Il est plus qu’important de rappeler un fait inquiétant, bien attendu dans le chef de l’autorité urbaine de Butembo, Il y a d’ailleurs toutes les chances qu’il se vérifie.
La Constitution définit le régime des incompatibilités du député national.
Ainsi, elle pose sans ambages que, “le mandat de Député national est incompatible avec……", bref, tout autre mandat public du plus petit au sommet des échelons du pouvoir exécutif. Il est aussi incompatible avec d’autres mandats publics éligibles comme la députation provinciale, les mandats de conseiller urbain ou communal.
C’est le double schéma suivi par le gouverneur du Nord Kivu qui a, après son élection comme député provincial, démissionné de sa fonction de maire de ville de Beni et puis de député provincial après son élection comme gouverneur.
Selon des sources bien informées, l’actuel Maire de ville de Butembo cumule deux mandats publics non les moindres, celui de Député national en tant que bénéficiaire du mandat du ministre du travail Monsieur Kambere Kalumbi comme premier suppléant et celui de maire de la plus grande ville de la province du Nord Kivu.
Dernièrement, lors du vote très mouvementé de l’honorable Evariste Boshab au perchoir de l’assemblée nationale, il s’est déplacé à Kinshasa pour voter, d’après un des députés nationaux membre de l’AMP élu dans la circonscription de Beni Territoire,
Cette attitude de l’autorité urbaine frise une ancienne culture dans le temps qui consistait à faire ce qu’on veut quand on est membre du parti au pouvoir. Ce fait n’est pas seulement grave, mais révélateur du système politique qui est le notre.
4. Bonjour toutes les femmes de Butembo (AMAAC de Goma est irritée de viol à FURU)
L’Alliance des Musiciens chrétien de l’Eglise Adventiste de Goma, sommes crispé de la situation qui s’est passée à Butembo fastueusement à FURU ou nos mamans, filles et jeunes filles ont été souillées par les groupes envoyés par le maire de ville de Butembo pour bouclage.
Nous vous disons chères mamans, filles et jeunes filles nos condoléance…
Nous ne sommes pas parvenus à savoir quels étaient le prétexte et l’objectif de l’autorité de la ville de Butembo de faire cette opération. Mais peut être il a mal choisie ceux qui pourront faire ce Bouclage. Je pense qu’il pourra aussi chères mamans de la ville de Butembo, vous demander pardon car nous croyons qu’il ne pas si méchant d’avoyer les groupes pour faire le viol sexuel à ces propre mères. Il peut avoir mal choisi les groupes pour faire cette besogne. C’est ne pas une nouvelle chose pour faire le bouclage. D’ailleurs on détecte plus facilement ou se trouve les mains armées de la ville.
Oui, l’action de viol est très douloureuse au font du cœur, mais nous devons nous disculper les uns les autres pour en fin équivaloir l’auréole de vie.
Très chères mamans de la ville de Butembo. Nous siestes avec vous dans le chagrin et avec les parents biologiques des enfants qui ont étés violées. Mais aussi nous sommes à coté des maris des femmes violées à FURU. Mais ce que nous pouvons vous dire est que le Maire de ville de Butembo KAKULE SYAHETERA est l’un de toute le façon notre fils; raison pour la quelle nous pensons qu’il faudra laver nos linges salles dans notre famille. Il y a l’adage qui dit: « TSHIKAVYA THSILIMU LIMU I NINA TSHETU »
Vous avez préconisé au chef de l’Etat d’épingler SYAHETERA. Oui, ça peut être une bonne chose pour l’instant mais qui vas peut être nous coûter cher, parce que nous ne savons pas qui sera proclamé n°1 de la ville de Butembo. I y a beaucoup des gens qui ont soif du pouvoir. MWIBUK’EKIR’O’ABALWANA BATABAW’IBANEHO; Qui les a enterrés vivant? NINA MU YIRA NAHO KWE ? Sitwangayiminyira…
Je pense que nous allons attendre ce que notre KYAGHANDA USA va décider pour ce fait. S’il y a à démentir pour cette suspension devant le chef de l’Etat ou s’il y a à mettre de la pression pour que ce dernier soit suspendu, la décision viendra du véranda USA en collaboration avec nos députés Provinciaux. Mais jusque là nous ne savons pas quelle a été la répercussion de la mairie pour ce crime faites à nos mamans chère de FURU.
Nos militaires ne doivent pas chaque fois profiter la consommation du sexe dans le désordre. Il serait mieux que toute personne militaire que policien soit munie d’une femme pour diminuer le cas de violence. Les biologistes en connaissent mieux. Les chefs des unités doivent aussi être interpellés dans le parlement provincial pour qu’ils puissent renforcé la morale chez ses militaires ou ses policiens.
Nous, l’Alliance des Musiciens chrétien AMAAC de l’Eglise Adventiste de Goma nous recommandons à KAKULE SYAHETERA de venir aux prés de nos mamans pour leurs demander pardons et surtout les faires comprendre le hasard qu’il a commis.
TSHIKAVYA TSHIV’IKYALYA MBANULO
OMUSYAKUL’O’YULY’ECHAGHAND’AKANDITUBWIR’AB’OTATA KULU NGO VATI CHI
Ne soyons pas trop énerver car nous allons trouvé une solution le plus tôt possible.
Nous sommes près à accepter ce que nos représentant vos décidés…
Alliance des Musiciens Adventiste en Afrique Central usiciens dventiste en frique entral AMAAC
Ir. KASEREKA KISAMBI Jim Pascal ,Coordinateur.
Contact: ecomusica_jim@yahoo.fr en collaboration avec
5. De Samuel Masinda (KENYA)
J’adresse premièrement mes salutations aux frères, étudiants, amis et camarades combattant pour la paix, justice et dignité de l’humanité en RD Congo.
Je m’appelle Masinda Samuel, et je suis étudiant a l’Université de L’Afrique de L’East au Kenya.
Lettre adressée au gouverneur
Je voudrais réagir au sujet de la lettre adressé au gouverneur de la province du Nord-Kivu.
Cela est une très bonne initiative le quel nous saluons l’acte avec fierté.
Frères et sœurs, soutenons nous les uns les autres. Le sort de notre pays est entre nos mains. De part les petites initiatives en sortiront de plus granges. N’oublions pas que ce qui affecte la maison de mon voisin pourra m’affecter le lendemain. Je lance ce message au reste de la population des autres quartiers de la ville de Butembo. Nous avons tous été témoins de ce qui s’est passé. Une fois encore je le répète, soutenons nous les uns les autres.
Masinda Samuel
University of Eastern Africa,
Kenya





