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    Editorial

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    webmasterBy webmaster30/03/2007Updated:07/12/2017Aucun commentaire0 Views
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    Benilubero Online a, il y a quelques jours, porté à la connaissance de ses lecteurs un certain nombre d’informations troublantes sur des dérives qui, si elles ne sont pas contrées à temps, risquent de faire de la ville de Butembo un enfer terrestre pour ses habitants.
     
    Il s’agit notamment de: 1) la pratique du stellionat par certains militaires c’est- à -dire leur installation dans les maisons des particuliers sans l’autorisation de ces derniers, 2) la soumission des femmes du quartier à des corvées ménagères par les épouses des militaires, corvées consistant entre autres pour celles-là à ravitailler celles-ci en eau potable et 3) l’insécurité relative à l’acquisition des parcelles vendues par des personnes non qualifiées mais pour lesquelles des titres de propriété délivrés en bonne et due forme existent. Alors que les deux premières dérives sont révélatrices d’une volonté manifeste de domination contraire à la paix et à la sécurité, la troisième – plus sournoise – est indicatrice d’une roublardise qui n’est pas moins pernicieuse et moins insécurisant.
     
    Comment mettre fin à ces dérives diamétralement opposées aux acquis théoriques du processus électoral et donc à la volonté du peuple congolais d’assister enfin au surgissement un ordre sociopolitique nouveau qui le protège contre la barbarie?
    Comment la population de Butembo peut-elle conjurer l’insécurité dont elle est en permanence menacée et qui, depuis des décennies, parait être entretenue par ceux-là même qui sont censés l’éradiquer?
     
    Les éléments de réponse à cette question se trouvent contenus dans cet adage provocateur: “Aide-toi toi-même et le ciel t’aidera”. Il me semble que pour espérer gouter un jour aux délices de la sécurité et de la paix à Butembo, force est à la société
    Civile de mettre sur pied des mécanismes d’autoprotection susceptibles de conjurer la triple insécurité dont mention est faite plus haut et qui a déjà été décriée à plusieurs reprises, au risque de leur vie, par des hommes de bonne volonté parmi lesquels des journalistes et défenseurs des droits de l’homme dont le courage est admirable et digne d’éloges. Quand on est menacé, la réaction se veut à la mesure de la nature
    et de la gravité de la menace.
     
    Il n’est pas anodin de signaler au passage qu’en matière de lutte contre des situations injustes criantes, il n’y pas de méthodes ou de stratégies immuables. Le constat de l’inefficacité répétée d’une méthode ou d’une stratégie est le signalement de la nécessité de son remplacement par une autre. Les pistes de solution proposées dans les lignes qui suivent le sont à l’intention des animateurs ou représentants de la société civile qui, dans la lutte à mener, peuvent s’en inspirer dans l‘échafaudage des stratégies à adopter, d’une part, face au comportement abusif des soldats et de leurs épouses et, d’autre part, face aux vendeurs non qualifiés des parcelles et aux agents
    de l’Etat commis à l’enregistrement de celles-ci.
     
    a) Face au comportement abusif des militaires et leurs épouses
     
     1. La constitution de la population en une force
     
    Point n’est besoin de rappeler que le tribut payé par Butembo depuis le régime de Mobutu jusqu’à nos jours est terriblement lourd. C’est non sans horreur, non sans sentiment d’indignation et de révolte que tout le monde se souvient des exactions auxquelles se livraient impunément les éléments de la Division Spéciale Présidentielle (DSP) ou de la Garde Civile, les brimades que les combattants au sein de différentes rebellions ont infligées à la population locale, les massacres commis sur la jeunesse du quartier Kalemire à Butembo au lendemain de la guerre dite de libération par les troupes de l’AFDL, les tracasseries endurées au quotidien par les commerçants, tracasseries dont les pertes et manque à gagner sont difficiles à quantifier…
     
    Le fait que la situation sécuritaire à Butembo soit loin de s’améliorer est sans conteste un signe des temps. Cet état inconfortable des choses est un signe qu’il s’impose que la population de Butembo prenne conscience de sa souveraineté et travaille avec
    assiduité à la reconnaissance de cette souveraineté en opposant une résistance intransigeante aux oppresseurs et aux prédateurs potentiels ou actuels. Je ne pense pas que ce soit de manière arbitraire que le peuple est juridiquement défini comme “souverain primaire”. Sans peuple, en effet, il n’y pas d’Etat. La ville de Butembo sans sa population c’est- à -dire inhabitée ne représenterait rien du tout et ne dirait rien à personne. Ce qui montre que, comme n’importe quelle portion du peuple congolais, la population de Butembo est une force qui s’ignore. Mais aussitôt ceci dit, il faut ajouter que cette population restera une masse fragile si elle ne s’organise pas ou, à mieux dire, si elle n’est pas organisée.
     
    Aussi incombe-t-il aux animateurs de la société civile d’organiser la population et de lui faire prendre conscience de la force qu’elle représente et de la nécessité qu’il y a pour elle de se manifester comme force consciente de soi c’est- à -dire soucieuse de sa survie et de son avenir. L’amère expérience quotidienne est en train de nous rappeler crument que l’entrée théorique en système démocratique n’implique pas forcement la reconnaissance du peuple en tant que souverain. D’où il s’impose que la population de Butembo s’implique dans sa sécurité en travaillant la main dans la main avec ses animateurs ou ses représentants. A défaut d’une telle complicité, grand est pour elle le risque de rester vulnérable pour longtemps. La résistance aux forces du mal ne doit pas se faire en ordre dispersé. Elle a besoin de l’implication de tous ceux dont la dignité humaine est foulée aux pieds.
     
    L’union de toutes les forces vives qui constituent la population de Butembo s’impose comme une nécessité si ladite population entend devenir un pouvoir susceptible de tenir en échec les plans de ceux qui voudraient tenir en échec l’entrée de la RDC en
    démocratie. Grosso modo, aux fins de se constituer en une force de taille à se défendre et à se protéger hardiment contre abus et tracasseries de tout bord, il est urgent que les habitants de Butembo s’unissent. Je partage   l’avis de ceux qui soutiennent que l’union fait la force et que sans union il y pas de force. Une cité dont les habitants sont divisés et sont sans projet commun d’auto-protection est une cité
    bâtie non sur du roc mais sur du sable en dépit la beauté et de la solidité de ses bâtiments ou de ses maisons.
     
         2. La mise en exergue de la primauté du Maire de la ville
     
    Il n’est pas excessif de dire qu’un peuple ou une population sans chef est comme un corps sans colonne vertébrale ou sans tête ou qu’une cité sans unité de commandement est comme un navire se trouvant aux commandes de plusieurs capitaines. Des conflits de compétence vouent inexorablement un tel navire au naufrage. Saint Thomas d’Aquin donne très peu de chance de réussite et de prospérité à une cité ayant à sa tête plusieurs chefs. Ceux qui en RDC imputent les échecs de la transition à la formule 1+4 n’ont peut-être pas tort.
     
    L’image d’un navire confié à la fois aux commandes de plusieurs capitaines s’applique bien à la ville de Butembo ou on ne sait pas trop qui y assume l’autorité
    suprême ou, pour être plus concret, qui entre le Maire ou le Commandant de l’armée y a la primauté ou la préséance. S’il est vrai que l’entrée en démocratie a sonné et qu’en régime démocratique les autorités militaires sont soumises aux autorités civiles, la primauté revient de droit au Maire de la ville.
     
    Aussi faut-il qu’il soit rappelé au Maire qu’en sa qualité de Chef de cité, il est le premier responsable de la ville de Butembo, que toutes les autres autorités, en ce y compris les autorités militaires, tombent sous sa juridiction et lui sont, par conséquent, subordonnées. La prise de conscience par le Maire de ses prérogatives permettrait de lever la confusion ou, pour mieux dire, le conflit de primauté ou de préséance entre lui et le Commandant de la ville. Tout donne à penser que la population est tout disposée à soutenir le Maire dans un tel conflit. Eu égard à la primauté du Maire de Butembo comme premier garant de la sécurité des personnes et des biens, la population, par le truchement de ses porte-parole, a le droit de: 
     
    – Lui demander d’exiger aux militaires de rester confinés dans leurs casernes, de leur interdire de se promener sans justification avec leurs armes, de leur rappeler que c’est à la police qu’incombe la mission de veiller au maintien de l’ordre dans la ville et
    que leur intervention ne peut être sollicitée que si la police est débordée dans l’accomplissement de sa mission.
     
    – Réclamer qu’il trouve, en concertation avec le Commandant de la ville, une solution au problème des effectifs militaires qui sont de trop à Butembo soit par leur renvoi vers des régions qui auraient besoin d’eux soit par l’érection des tentes dans leurs
    camps en vue de leur logement. Ceci permettrait de séparer la population civile de la
    population militaire et de libérer les maisons aujourd’hui occupées de force par l’armée. Rien, en effet, n’est plus dangereux que des militaires disséminés dans la ville et mélangés aux civils dans la mesure, entre autres, où il serait extrêmement difficile de rassembler les troupes au cas où la ville ou ses environs seraient attaqués par surprise.
     
    – Lui demander de mettre fin au système de corvées instauré par les épouses des militaires en complicité avec ces derniers. Rien n’est plus humiliant que l’utilisation de nos mamans, de nos sœurs, de nos cousines … comme esclaves.
     
    – Organiser des rencontres avec lui (=le Maire) auxquelles sont invités les autorités militaires, les responsables de la police, les chefs des communes et ceux des quartiers chaque fois qu’il y a des problèmes sécuritaires qui se posent en vue de chercher
    Collégialement des voies et moyens susceptibles de conduire à la remediation de la situation ou, soit dit autrement, au rétablissement de la sécurité des personnes et de leurs biens.
     
    – Solliciter auprès de la Mairie, chaque fois que cela s’impose, l’organisation des manifestations publiques non-violentes en protestation contre l’une ou l’autre situation inconfortable ou incommodante.
     
    – Exiger, d’une part, la libération de tout quiconque ferait l’objet d’une détention arbitraire et, d’autre part, des dommages et intérêts au profit des victimes d’actes barbares d’où qu’ils viennent.
     
    – Saisir la hiérarchie territoriale ou provinciale (l’Administrateur ou le Gouverneur) au cas où localement aucune solution au(x) problème(s) posé(s) ne serait trouvée. Au cas où, malgré tout cela, la situation ne se décanterait pas, mettre à contribution les élus du peuple à savoir les parlementaires provinciaux et nationaux originaires de
    Beni-Lubero.
     
         b. Face aux abus des vendeurs non qualifiés  des parcelles et de leurs complices
     
    Il peut être mis fin à ces abus en demandant au Maire de:
     
    – Confectionner, avec la collaboration des services du cadastre, un document ou se trouvent consignes dans un langage clair et intelligible la procédure à suivre et le cout des différentes taxes à payer à chaque étape de ladite procédure en vue d’acquérir validement une parcelle.
     
    – Confectionner, toujours avec la collaboration des services du cadastre, un deuxième document ou se trouvent répertoriés les terrains appartenant à l’Etat ainsi que leur localisation. Ce qui permettrait de couper l’herbe sous les pieds des escrocs et d’éviter aux personnes de bonne foi le désagrément de se retrouver avec des terrains illégalement vendus ou acquis.
     
    – Confectionner un troisième document où se trouvent repris les noms des personnes qui se sont déjà rendus coupables de vente illicite des terrains.
     
    De telles dispositions présenteraient l’avantage de mettre les acquéreurs potentiels des terrains à l’abri du risque de se faire escroquer par les malins génies dont la race se développe au rythme de l’aggravation de la misère en RDC.
     
    Conclusion
     
    Laisser les militaires, leurs épouses et les agents de l’Etat le soin de se conduire comme bon leur semble est une option irresponsable et suicidaire. La ville de Butembo a tout intérêt à ne pas s’accommoder de ce que Raymond Paulin appelle la paix des brigands c’est- à -dire celle dont les termes sont définis par ceux-ci.
     
    Il s’agit de cette paix analogue à celle qui prévalait dans la caverne du monstre Polyphème où ses prisonniers, sans être autorises à émettre le moindre cri d’indignation, devaient chaque jour livrer un compagnon d’infortune à ses crocs insatiables sous peine d’être massivement détruits par leur geôlier. Est-ce de ce type de paix que la ville de Butembo a besoin? La réponse est “NON”. Comment la ville de Butembo pourrait-elle être construite si ses habitants font régulièrement l’objet de racket de la part des militaires et des agents de l’Etat? Comment pourrait-elle se développer si elle en permanence plongée dans l’insécurité? Il est grand temps que tout le monde comprenne que sans sécurité et sans paix, aucun développement n’est possible.
     
    Au regard d’une situation inconfortable exacerbée par une présence massive des forces négatives dans la ville de Butembo, une collaboration étroite entre le Maire et la population s’impose. La population de Butembo a le droit de compter sur le soutien et la protection de son Maire. Pour résoudre le problème d’insécurité qui se pose avec acuité à Butembo ou à 18h il faut, à ce qu’il semble, s’arranger pour être chez soi afin de ne pas tomber dans les filets des malfaiteurs nocturnes, le Maire a tout intérêt à s’appuyer sur la population et à collaborer étroitement avec elle. Cette complicité entre la population et son Maire permettrait à celui-ci de s’imposer comme la première autorité de la ville à toutes les autres autorités subalternes qui qu’elles soient.
     
    Il n’y a de droits, il n’y a de prérogatives que reconnus et protégés. La reconnaissance de la primauté du Maire de Butembo sans laquelle il ne saurait fonctionner avec efficacité est à protéger par le peuple. Ragaillardi dans sa fonction par une telle protection, le Maire ne devrait pas se manifester autrement, sous peine d’être désavoué, que comme le protecteur des droits de ses gouvernés et le garant de leur sécurité.
     
    P. Kamundu Léopold, O. Praem.
          New York (USA)
          Beni-Lubero Online

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    * Le Parc National des Virunga, avec sa faune et sa flaure très diversifiées.
    * La rivière Semliki, très poissonneux, irrigue le Parc National des Virunga, se jette dans le fleuve Nil, et constitue une des nombreuses sources du Fleuve Nil, question longtemps debattue par les explorateurs de lAfrique.
    * Archéologie: L’homme d’Ishango est un des plus anciens fossils de l’humanité. Ishango c’est un petit site situé aux abords du Lac Edouard et de la Rivière Semliki. L’Os d’Ishango classé au Musée de Sciences Naturelles de Bruxelles (Belgique) est parmi les plus anciens du Monde et daterait de 20. 000 Av.J.C. d’autres le date 9000 Av.J.c. et d’autres 6500 Av.J.C. Pour savoir plus à propos du bâton d’Ishango: http://www.ishango.be/fr2005/historique-histoire.

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