





Chez nous, un adage dit : « Soki omoni ndoki, belela !» (Si tu vois un sorcier, crie, appelle au secours). Tel est l’objectif de ce petit article : crier. Même si nous le faisons au désert…
Pour n’avoir pas maîtrisé les tenants et les aboutissants de la guerre d’agression de 1996, pour avoir refusé de regarder les acteurs majeurs de cette guerre en face, pour avoir accepté de dialoguer avec les acteurs apparents, pour avoir cru dans discours relayant « les bonnes intentions » de la communauté dite internationale, pour n’avoir pas tiré toutes les leçons de la crise ivoirienne et de la guerre faite à la Libye, certains acteurs politiques Congolais plus démocrates que les représentants de la démocratie bourgeoise et capitaliste occidentale, risquent de plonger davantage, par leur faute, notre pays dans le chaos. Les informations que nous venons d’avoir n’augurent rien de bon pour l’avenir proche de notre pays. Elles tendent à indiquer que si le choix des populations congolaises n’est pas celle de la communauté dite internationale, il ne sera pas respecté.
Ceci ne sera pas une première dans la mesure où les autres peuples s’étant risqués sur cette lancée-là se sont vus imposer des sanctions économiques comme punition consécutive à leurs mauvais choix.
Rappelons-nous. Les Palestiniens ont été punis pour avoir (mal ?) choisi, dans leur immense majorité, le Hamas. Bien avant eux, les Vénézuéliens ont assisté à un coup d’Etat contre Hugo Chavez, leur président démocratiquement élu, en 2002.
S’il arrive que les élections aient lieu au Congo entre 2011 et 2013, elles seront une mascarade destinée à « légitimer » des hommes et femmes liges de la communauté dite internationale comme en Côte d’Ivoire. La préférence va vers ceux et celles d’entre eux ayant été, par le passé, « les bons élèves » de la Banque mondiale et du Fonds monétaire internationale ; c’est-à-dire ceux et celles qui ont fait du Congo ex-Zaïre la vache laitière des IFI. Ainsi, la domination de la communauté dite internationale sur notre pays pourra-t-elle se poursuivre à travers ses bras économico-financiers.
Cette « légitimation politique » des hommes et femmes liges de la communauté internationale est présentée comme une garantie de stabilité pour certains pays limitrophes dont le Rwanda et pour toute la sous-région des Grands Lacs. Lisons : « Comme une garantie pour la perpétuation de la prédation au Congo par l’entremise du réseau transnational fonctionnel depuis la guerre d’agression de 1996 ». La réussite de ce scénario passe par des garanties données aux gouvernants sortants impliqués dans les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et des actes pouvant s’apparenter au génocide : s’ils acceptent de partir en bonne et due forme sans gêner le projet de la communauté dite internationale, ils seront protégés.
L’asile offert (probablement) à trois Congolais (au Pays-Bas) ayant témoigné sur les acteurs impliqués dans la guerre entre les Hema et les Lendu (à Kisangani) est une épée de Damoclès sur les têtes de certains d’entre eux. Ils doivent choisir entre l’obéissance au diktat de la communauté dite internationale et la souveraineté économique et politique du Congo. S’ils font un mauvais choix (la souveraineté économique et politique du Congo), ils devront répondre de leurs crimes devant la justice internationale. Certains acteurs politiques plus ou moins populaires et « victimes » du discours officiel de cette communauté dite internationale sont exclus de ses calculs. Il est possible qu’ils bénéficient de titres honorifiques s’ils acceptent de jouer le jeu.
Qui est averti sur cette orientation de la vie politique et économique de notre pays pour les prochains mois et les prochaines années ? Certains acteurs politiques, religieux, associatifs et certains leaders d’opinions.
Que peut le peuple Congolais face à cela ? Se souder et éviter les distractions des politiciens invitant à la division entre l’Est et l’Ouest, le Nord et le Sud, le Centre, etc. Certaines de « nos minorités organisées » pourraient davantage travailler à la synergie entre toutes différentes forces acquises au véritable changement. Celles pouvant proposer une alternative crédible allant dans le sens de la résistance contre ce projet macabre devront s’y mettre davantage.
Notre souci (dans cet article) est de crier, de crier, de crier en disant : « Le projet est très avancé. Ouvrons l’œil et le bon. » Que nous soyons cru ou pas, nous aurons eu le mérite d’avoir crié. « Soki omoni ndoki, belela. » Il n’est pas tard que les Congolais(es) se prennent en charge.
J.-P. Mbelu
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FLAAAASH !! Alliance Kengo et Joseph Kabila pour contrer Tshisekedi et mettre en place un gouvernement de transition
La vague « Ya Tshitshi zongisa ye na Rwanda » sème la panique
Les élections en RDC ? Voilà une affaire qui sent de plus en plus le roussis .Oui ou non les élections vont être repoussées ? C’est la question que beaucoup de congolais commencent à se poser tant le scrutin annoncé semble mal préparé. C’ est aussi la question à laquelle le gouverne(et)ment congolais devrait répondre franchement. Mais qui peut vraiment compter sur eux pour nous dire la vérité ? Surtout quand elle est embarrassante ! C’est pourquoi avec quelques compatriotes en Europe et en RDC nous avons entrepris de trouver des réponses .Le résultat est de taille. Ah peuple congolais , peuple de rêveurs Nous rêvons d’une démocratie, des élections mais sous nos yeux ou presque, tout est fait pour nous enfoncer dans la dictature et la misère. Nkiadi ! Notre pays n’est pas au bout de ses peines ! Oui ,notre petite équipe a fini par trouver les réponses à nos questions grâce à un de nos anciens professeurs qui enseigne encore dans une grande université de Kinshasa. Il nous a confirmé que dans certains cercles du pouvoir de la RDC l’option du report des élections a déjà été levée. En tout cas certains s’activent dans ce sens. Ce prof a lui même été approché par des proches de Vundwawe et Kengo. Des recruteurs. Ils lui ont confirmé que des préparatifs sont déjà en cours dans l’optique des élections reportées et que Kengo devrait jouer un rôle « important » dans cette nouvelle configuration. C’est pourquoi il lui a été proposé de rejoindre le nouveau parti que l’actuel président du sénat est en train de créer. D’après ce compatriote , concernant ce parti au départ c’est le professeur Vundwawe qui était plus mis en avant que Léon Lobitsch Kengo pour essayer de contourner l’hostilité des congolais chez qui Kengo est plutôt impopulaire .Ses origines rwandaises par les temps qui courent ne sont pas fait pour arranger les choses. Mais quand il s’agit de pouvoir et d’argent il y en a qui n’ont plus peur de rien.
Le pacte
D’après quelques indiscrétions recueillies de sources sures dans l’entourage de « VTP » (Vundwawe) notre ancien professeur a pu en savoir un peu plus. Et donc Kabila le kadogo-criminel-rwandais-diplomé-imginaire-boy de Paul Kagamé et son entourage proche ne se sentent pas rassurer du tout par la tournure que prennent les choses dans l’opinion congolaise de plus en plus hostile au mwana ndeke . Ils pensent que des élections dans ce contexte ne leur garantiront qu’une violente éviction . Ils sont inquiets parce qu’ils voient les choses se corser pour eux avec le réveil des congolais ou encore les démonstrations de Ya Tshisthi au stade Tata Raphael et ailleurs. Résultat, pris de panique devant cette vague « Ya Tshitshi zongisa ye na Rwanda », Léon et Hyppolite ont scellé un pacte de circonstance .D’après ce compatriote , les lobbies rwandais et autres lobbies occidentaux qui espèrent par ce stratagème pouvoir sauver la tête de Kanambe et leurs intérêts par la même occasion ont vivement incité Léon Lobitsch à mettre rapidement en place ce nouveau parti qui lui donnerait une meilleure assise. D’après d’autres compatriotes à Kinshasa ce futur parti doit opérer sa sortie dans la deuxième quinzaine du mois de juin voir au courant du mois de juillet et devrait s’appeler « L’Union des forces du changement» (UFC). L’autre particularité de ce mouvement est celui de tenter d’opérer son recrutement depuis plusieurs mois par le débauchage des membres ou autres cadres des partis déjà existants (MLC,UDPS,PPRD ,APARECO etc…) ou encore des membres de groupes de pression très actif dans la diaspora congolaise. Le but étant de donner au moins en apparence l’impression que ceux qui composent ce parti oeuvrent pour un prétendu « changement » en RDC mais chose étrange les « récruteurs » de ce parti qui ont approché des compatriotes dans la diaspora ne leur ont fait miroiter qu’un seul argument en particulier : l’argent . Drôle de changement … Et quand on sait maintenant qu’il existe un pacte entre Kengo et Kabila on a vite fait de comprendre que c’est encore un de ces scénarios tristement classique en RDC depuis quelques temps en fonction de ce que révendique les congolais il ya à chaque fois des petits malins qui viennent faire semblant de répondre à leurs attentes c’est comme ça qu’on nous a parlé de Libération en 1997, des Amani leo et autres Umoja wetu et maintenant on veut nous servir des « Forces dit du changement » dirigé par un autre rwandais au service du Rwanda et de ceux qui lui offrent des décorations ! Encore un candidat de l’étranger ?!?!! Toboyi, stop ! Et comme Kagame et ses frères prennent toujours les congolais pour des idiots parfaits Léon Lobitsch alias Kengo wa dondo qui parle couramment le Kinyarwanda a donc pour mission de faire gober aux congolais qu’il nous faut absolument un autre rwandais (lui) pour régler les problèmes que le Rwanda posent à la RDC !!! Pourquoi les pays qui ont combattu Hitler n’ont-ils pas choisi des allemands pour les diriger à la fin de la seconde guerre mondiale ? Kengo ( allié à Seti et Endundo) s’apprête donc à entrer en scène juste après avoir été décoré par la France pour on ne sait quel service rendu à Dieu sait qui mais surement encore pour un « meilleur partage des richesses de la RDC avec des pays voisins ». Il est aujourd’hui le congolais le plus décoré par La France tant mieux pour lui .Mais il s’est bien gardé de dire exactement pour quel service rendu ou à rendre . Ceci amène à se demander en vertu de quoi certains se donnent-ils le droit de décider que pour diriger la RDC aujourd’hui et être bien vu dans certains réseaux il faut absolument être soit rwandais, soit rwandophile soit rwandophone, ou encore avoir une rwandaise dans son lit ? Autrement dit nous aurions rompu avec la colonisation belge pour être maintenant coloniser par le Rwanda.Et puis quoi encore ? Tout est fait pour imposer aux congolais ces « banyarwanda » qui travaillent activement pour leur pays et n’hésitent pas à violer nos femmes , nos mères et nos filles ou à exterminer des millions de congolais pour arriver à leur fin. Ruberwa, Kamerhe, Nkundabatware,Nyarugabo, Ntanganda, alias Joseph Kabila, Léon Lobitsch alias Kengo etc… ont prouvé pourquoi ils sont en RDC.Mais pas de chance les congolais ont compris tous ces stratagèmes. On ne va pas chasser le rwandais Hyppolite Kanambwa alias Joseph Kabila pour le remplacer par un autre rwandais. Le pacte diabolique de alias Kengo avec son frère Kanambwa n’engage que eux même : Ya Tshitshi tolembi zongisa bango na Rwanda eeee !!!
Vive la résistance congolaise !
M.Kalwangila





